Murielle et moi, de retour de Santorin, with stories … AND MORE – #DH299 Post-traitement | Post-processing
Image by Didier Hannot Photography
Press L : large better view on black background.
___________________________________________________
FR – English below
Chers amis, en premier un grand merci pour vos visites, vos commentaires et vos favoris, toujours très appréciés.
Bien le bonjour à tous. Je suis content de vous retrouver après une semaine d’escapade dans les cyclades en Grèce, et plus précisément à Santorin.
Pour ma petite Mumu – mon épouse pour ceux qui l’ignore encore, c’était un baptême de l’air. Un réveil à 3 heures du matin pour s’entendre dire au check in que l’avion avait des problèmes techniques et pourrait finalement décoller avec 2 heures de retard. Cette annonce de soucis techniques à quelque peu renforcé la petite angoisse de Mumu. Le passage au contrôle de sécurité a été aussi stressant, et finalement sans aucun problème. Il s’en est fallu de peu pour que nous nous endormions dans les sièges en cuir de la zone commerciale … :-)))
Après l’installation et une première sensation de claustrophobie pour Murielle qui trouvait l’espace des sièges de notre Boeing 737 – 700 quelque peu réduit, elle était fin prête pour son premier décollage, côté hublot pour l’occasion. Lancé à vive allure, nous avons quitté le sol belge sans encombre. Notre vol a traversé quelques turbulences qui ne nous ont pas empêchées de rencontrer "Morphée". Pour Mumu, sa chance fût une escale à Mykonos, ce qui lui aura permis en tout de bénéficier de deux décollages et de deux atterrissages à l’aller.
Comme tout un chacun, j’avais passé mon temps à consulter nombre de sites et de guides de voyage sur cette zone de notre planète. Sans doute comme moi, l’image que vous en avez sont de belles maisons blanches, des toits bleus, tout cela sous un beau soleil et un ciel de feu romantique à souhait au coucher du soleil.
Arrivés par les airs, notre premier contact avec l’île fût tout autre. Atterris à l’aéroport, seule l’inscription Santorini délavée au-dessus d’une forme de terrasse de l’aéroport nous a assuré que l’avions ne s’était pas trompé d’île. Les grillages de l’aéroport étaient tellement rouillés qu’à mon avis un seul coup de pied suffit pour les casser. Une réelle sensation de débarquer à Beyrouth après la guerre. Cette sensation a été renforcée par le ciel d’un gris profond qui nous a accueilli.
Sur la route vers l’hôtel, la sensation continue. Mais où sont ces belles maisons blanches et ces toits bleus ? L’environnement semble désertique et vétuste, avec de temps en temps des maisons simples de campagne … Les quelques véhicules que nous croisons n’ont rien de récent, et les vieilles mobylettes sont aussi reines là-bas.
L’île étant petite, 7 minutes suffisent pour arriver à notre hôtel, le Volcano view …
Là, c’est l’éblouissement intégral du blanc immaculé de cette infrastructure hôtelière perchée au-dessus de la Caldera – l’ancien cratère du volcan aujourd’hui largement rempli d’eau. Une vue magnifique à 150° de chaque côté. Les chambres sont réparties en pallier. La nôtre se situe à 78 marches à partir de la réception. Un très bon exercice pendant cette petite semaine. Le personnel était très accueillant, chaleureux, disponibles. La sensation a été identique lors de la rencontre des gens de l’île, dans les restaurants ou les commerces. Une seule exception, le pompiste que j’ai rencontré le dernier jour pour refaire le plein de notre petite Nissan Micra de location. Il était sympa comme une porte de prison. Heureusement, une exception.
Renseignement pris après notre super souper au restaurant de l’hôtel, la météo s’annonce plombée toute la semaine, avec de la pluie, du vent et des températures basses … Aurons-nous vraiment besoin de nos lunettes de soleil ? Oui, car Mumu c’était achetée des Prada dans le Free Tax de l’aéroport de Bruxelles. Ce sera ensuite la session d’information avec l’hôtesse JetAir Fly, et deux excursions réservées, bien que le temps nous laisse dans un grand doute : une balade romantique en bâteau et une balade en 4×4 dans la région aride du sud de l’île.
Le lendemain, après un premier passage au buffet petit déjeûner – franchement varié et de qualité, nous nous sommes mis en chasse des maisons blanches, bien que le temps était toujours gris, et à tendance pluvieuse.
Eh bien, il faut savoir que toutes les photos des maisons blanches et des toits bleus sont prises à Oia, prononcé Ia, située à l’extrémité nord de l’île. En descendant vers Firostefani et Thira la capitale de l’île, il y a aussi quelques maisons blanches en palier mais qui sont déjà un peu moins authentiques que les maisons de Oia. Appris des locaux sur place, toutes les photos des magazines et des cartes postales sont faites … uniquement là.
Le point marquant suivant – voire même très marquant, est l’état des installations électriques. Des pylônes en bois supportant des transformateurs énormes, desquels partent des dizaines de câbles vers d’autres pylônes en bois vétustes, eux-mêmes lançant leur grappin vers les maisons éparpillées. De quoi avoir très difficile à faire une photo en évitant les câbles.
Le décor est donc planté. Un superbe hôtel, une petite voiture, une semaine, un temps plus que très moyen, très gris, pluvieux et froid avec des maisons blanches très localisées, et tout le reste de l’île avec des villages sortis d’un autre monde … dans lesquels vivent des personnes simples, très chaleureuses, accueillantes, sympathiques …
Grâce au vent fort qui pousse parfois rapidement les nuages, nous aurons samedi une journée pleine de soleil, pour notre excursion en 4×4, et quelques heures par ici et par là 2 à 3 autres jours. Le temps photo a donc été très concentré … et les résultats, eh bien, mitigés … Nous allons progressivement découvrir cela ensemble, pour une vision plus authentique de Santorin en face cachée, ne correspondant pas vraiment à ces photos uniques de magazines et de cartes postales.
45 secondes de libre, jeter un petit coup d’oeil à mes dossiers sur les vignettes de ma galerie
– – – – – – – – – –
Dear friend, first thanks for your visit, your feedback and your fave, really appreciated.
Hello my friends. I’m glad to see you after a week break in the Cyclades in Greece, and more specifically in Santorini.
For my little Mumu – my wife for those who still do not know her, it was a first flight. After a wake up at 3 am we were told at check in that the plane had technical problems and could finally take off with 2 hours late. This announcement of technical worries strengthened somehow the small anxiety Mumu. The passage through the security control was also stressful, and finally without any problems. It is almost that we fell asleep in the leather seats of the free tax area …
After her installation and the first sensation of claustrophobia for Murielle who found the space between the seats of our Boeing 737-700 somehow reduced, she was ready for its first flight, window seat for the occasion. Launched at high speed, we left the Belgian soil smoothly. Our flight went through some turbulence which did not prevent us from meeting "Morpheus". For Mumu, her luck was a stopover in Mykonos, which has allowed her to benefit from any two takeoffs and two touchdowns on the way in.
Like everyone else, I spent my time looking at many sites and travel guides in this area of our planet. Probably like me, the image that you have are beautiful white houses, blue roofs, all under a bright sun and a romantic sky fire at sunset.
Arrived by air, our first contact with the island was quite different. Landed at the airport, only the registration Santorini washed over a terrace form the airport assured us that the aircraft was not landing on the wrong island. Fences of the airport were so rusty that I think one kick only could be enough to break them. Our real feeling was a landing in Beirut after the war. This feeling was reinforced by the deep gray sky that greeted us.
On the way to the hotel, the sensation continues. But where are these beautiful white houses and the blue roofs? The environment seems deserted and dilapidated, with occasional single country houses … The few vehicles that we meet are nothing new, and old mopeds are also queens there.
The island is small, 7 minutes to get to our hotel, Volcano view …
Here is the full glare of the pristine white of the hotel infrastructure perched above the caldera – the old volcano crater now largely filled with water. You benefit of a magnificent view 150 ° on each side. The rooms are divided across "palier". Ours is located 78 steps from the reception. A very good physical exercise for this short week. The staff were very welcoming, friendly, available. The feeling was the same at the meeting of the people of the island, in restaurants or shops. One exception, the attendant I met the last day to replenish our little Nissan Micra rented during the week. He was nice as a prison door. Fortunately, an exception.
Information taken after our great dinner at the hotel restaurant, the weather looks leaded all week, with rain, wind and low temperatures … Will we really need our sunglasses? Because Murielle purchased Prada ones in the Tax Free at Brussels airpor. It was then the information session with the hostess of JetAir Fly and we bookedtwo trips, although the weather leaves us in great doubt: a romantic boat ride and a journey in a 4×4 in the arid region of southern island.
The next day, after a first pass at the breakfast buffet – frankly varied with quality, we started hunting of white houses, although the weather was still gray and rainy.
Well, you should know that all the pictures of white houses and blue roofs are made in Oia, pronounced Ia, located at the northern end of the island. Down to Firostefani and Thira the capital of the island, there are also some suspended white houses but already a little less authentic than the houses of Oia. Learned from local people, all pictures for magazines and postcards are made … only there.
The following points highlighted – even very striking, is the condition of electrical installations. Wooden pylons supporting huge transformers, which leave dozens of cables to other dilapidated wooden pylons themselves, running to grab their scattered houses. It will be very difficult to do a photo avoiding cables.
The decor is set. A superb hotel, a small car, a week, a very bad weather, very gray sky, rainy and cold with very localized white houses, and all the rest of the island with the village out of another world … in where people live simply, are very warm, welcoming, friendly …
With the strong wind that sometimes pushes rapidly the clouds, we had Saturday a full day of sun for our 4×4 excursion, and a few hours here and there 2-3 more days during the week. The picture time has been very tight … and the results, well, mixed … We will gradually discover it together for a more authentic view of Santorini face down, not really for these unique pictures from magazines and postcards .
45 seconds free, take a glance to | my gallery’s short previews
Nikon D5200; Nikkon 18-300 mm f/3.5 – f/5.6
___________________________________________________
© Didier Hannot – #294 19.05.2013 – Copyright – View License